Les prénoms régionaux, une mine d'idées pour les petits garçons !

Cap sur le Pays basque avec Eneko ! Ce prénom est la forme basque de Ignace, d'origine latine (« feu »). Il vient aussi du basque, et peut être traduit par « à moi ». Rare en France, il a été donné à près de 1 000 garçons. Mais, il est de plus en plus prisé des parents. Les Eneko sont consciencieux.

Alari est une pépite que vous avez peu de chance de voir dans les écoles, et les maternités ! Il s'agit de la forme occitane du prénom Alaric, lui-même peu courant dans l'Hexagone. L'étymologie de celui-ci est germanique : « roi de tous ». Bienveillants, et optimistes, les Alari sont très généreux.

Ce prénom breton est une variante de Gwenaël. Comme Nolwenn, chez les filles, il vient d'un terme celte désignant un « prince » et le « blanc ». Il est très peu attribué : depuis 1900, il a été attribué à environ 6 000 garçons en France. Variante : Gwendall. Les Gwendal sont ambitieux et téméraires.

Ce prénom est la forme alsacienne et Lorraine de Jean. Ce dernier est un prénom, d'origine hébraïque, qui s'est répandu en même temps que la chrétienté. Il est issu de termes signifiant « Dieu fait grâce ». Depuis 1900, Hans a été donné à près de 2 000 garçons. Les Hans sont fidèles en amitié.

Ce prénom corse masculin a pour origine le terme « sauveur » en latin. Il est proche de Salvatore, un petit nom très fréquent en Italie. Sur l'île de Beauté, il ne fait pas florès, à l'inverse de Lisandru, et Andria ! Moins de 30 individus ont été prénommés ainsi, depuis 1900. Les Salvadore sont fiers.

Damian est la forme occitane et provençale de Damien. C'est aussi un prénom anglais. Il est en progression dans les registres de l'état-civil français. Son étymologie : le verbe « dompter », en grec. Plus de 1500 naissances de Damian ont été comptées, depuis 1900. Les Damian sont mesurés, posés.

Ce prénom breton provient de termes germaniques, traduits par « illustre au combat ». Il a la même étymologie que Louis, dont il serait une forme ancienne. Loïc a eu beaucoup de succès en France dans les années 80. Parmi les Loïc célèbres : le navigateur Loïc Peyron. Les Loïc sont joyeux.

Voici une perle basque pour garçons. Ce prénom est encore rare en France, où il a été donné à 1 700 bébés depuis 1900. Mais, depuis vingt ans, il fait de plus en plus d'adeptes... En basque, Oihan désigne un « bois », un « bosquet ». Résolus et diplomates, les Oihan sont minutieux, et imaginatifs.

C'est un prénom corse, et italien. Par ailleurs, Andria est le nom d'une ville italienne, de la région des Pouilles. Comme Petru, et Matteu, Andria est plébiscité en Corse. Il a connu un record de fréquence en France en 2020, avec 61 petits garçons prénommés ainsi. Les Andria sont positifs.

Ce prénom est la forme basque de Jean. C'est un petit nom d'origine hébreu : « Dieu fait grâce ». Il est rare dans l'Hexagone. Et, l'écrasante majorité des naissances de petits Xan - 639 occurrences depuis 1900 - a eu lieu au Pays basque ! Les Xan sont réputés pour droiture, et leur bravoure.

Ce prénom breton brille à Brest, Paimpol, et même au-delà ! Prisé, il a été attribué à plus de 20 000 garçons en France depuis 1900. Il signifie « prince sage » en celte. Saint Malo d'Aleth, dit aussi saint Maclow, ou saint Maclou, était évêque de Bretagne au VIIe siècle. Les Malo sont intrépides.

Titouan possède une origine occitane, Titou étant le diminutif de Antoine. Mais, c'est en Bretagne, où il a été introduit, que le prénom connaît le plus de succès ! Les parents le choisissent, notamment pour rendre hommage à l'artiste et navigateur, Titouan Lamazou. Les Titouan sont pugnaces.

Ce prénom est un diminutif, et une forme basque de Martin. Celui-ci fait référence au dieu de la Guerre du panthéon romain, Mars. Près de 450 garçons ont été baptisés ainsi depuis 1900, surtout au Pays basque. La plupart des Mattin sont nés après 1990. Rigoureux, les Mattin sont organisés.

Forme locale du prénom Alexandre, Lisandru compte de plus en plus de fans parmi les parents corses. Il a été offert à près de 1 000 garçons depuis 1900, la plupart nés après 1992. Le prénom puise ses racines dans le grec ancien (« défense de l'Humanité »). Les Lisandru sont valeureux.

Ce prénom mixte breton vient de termes celtes : « seigneur généreux ». Il est rare en France, avec environ 500 occurrences, côté garçons. Mais, pour les filles, il est beaucoup moins usité. Sans surprise, c'est en Bretagne qu'il est le plus présent ! Variante : Kelig. Vifs, les Kaelig sont honnêtes.