««Au bout de deux mois, on imaginait déjà les prénoms de nos futurs enfants !»
Le témoignage d'Adeline et Matthieu, parents de Tyméa
« A cette époque, j’avais 19 ans et lui 21 ans. Ça faisait deux mois que nous nous connaissions que, très vite, lors d’une discussion, nous nous amusions à retourner, dans tous les sens, les lettres du prénom de mon ami, qui se prénomme Matthieu, pour essayer de trouver le ou les prénoms que porteraient nos enfants, plus tard quand nous en aurions. Nous avions essayé Mathéo en garçon, puis Mathéa en fille, mais ça sonnait bizarrement, puis Tyméo. Finalement, six ans et demi après que nous nous soyons mis en couple, ce n’est pas un petit Tyméo que nous avons accueilli, mais notre petite Tyméa qui est née le 23 août dernier. »
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« C’est notre fille qui a choisi le prénom de son frère. »
Le témoignage d'Émeline, maman de Mathilde et Nicolas.
« Après avoir mis au monde une petite fille, Mathilde, nous avons attendu un deuxième bébé lorsqu’elle avait 5 ans. Elle voulait absolument une petite sœur. Mais la Nature en avait décidé autrement ! L’échographie du second trimestre nous annonçait la venue… d’un petit garçon. On lui a dit tout de suite. Comme elle ne réagissait pas, on lui a demandé si elle était contente, et comment elle voudrait qu’il s’appelle. Sans aucune hésitation, elle nous a répondu : “Nicolas”. Et, effectivement, son petit frère s’appelle bien Nicolas ! »
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« C’est un prénom que j’avais entendu quand j’étais petite. »
Le témoignage de Sonia, maman d’Henrique
« On avait fait des listes de prénoms qui nous convenaient à tous les deux. Si pour une fille, on a vite trouvé, pour un garçon, on bloquait ! On avait une double difficulté : on cherchait un prénom à consonance portugaise (je suis d'origine portugaise), mais qui se prononce facilement en français. On hésitait entre Samuel, Fabio, Ugo, mais nous n’avions pas de coup de cœur. Et puis, un jour, en nous promenant sur la plage, je parle à mon mari d’un prénom entendu petite qui me plaisait : Henrique. Il l’a prononcé et m’a dit qu’il adorait, tout comme notre entourage quand on en a parlé. Nous avions enfin notre prénom si c'était un garçon ! »