Témoignage. Mylène Madrias (Trois Cafés Gourmands) après sa perte de poids : « Dans ma tête, je me sens mieux »

L’histoire de trois amis d’enfance corréziens, Mylène, Jérémy et Sébastien, passés de quelques mois de vedettes locales à stars nationales, ressemble à un conte de fées. Nombre de Français connaissent désormais par cœur leur tube « A nos souvenirs », dont le clip a été visionné plus de 220 millions de fois sur Youtube !

La chanteuse du groupe, Mylène Madrias s’est confiée à Nikos Aliagas le 13 novembre dans l’émission 50mn Inside (TF1). Si elle est bien sûr revenue sur le succès fulgurant de son groupe, elle a aussi livré des confidences plus personnelles. À la suite d’une rupture amoureuse, la jeune femme s’est décidée à quitter sa campagne limousine pour s’installer à Paris. Et profiter de ce nouveau départ pour perdre 30kg. Elle a expliqué à TF1 les raisons de ce changement : “Je n’ai pas fait de “Comme j’aime”, de “Weight Watchers”, de tout ça. À mon arrivée à Paris, je me suis retrouvée seule, c’était aussi un choix et la période faisait aussi qu’on se retrouvait beaucoup plus seul”.

Outre cette perte de poids, l’artiste s’est également concoctée un nouveau look, plus rock, arborant une coupe garçonne d’un roux flamboyant. Une métamorphose qui lui permet aujourd’hui de se sentir mieux dans sa peau :"Ce n'est pas parce qu'on a quelques kilos de moins, de tours de fesse ou de cheveux qu'on change vraiment, a-t-elle détaillé face aux caméras de TF1.Mais dans tous les cas, dans ma tête, je suis mieux. Donc je pense que ça se ressent. En général, les gens qui sont heureux, on le voit. Ça se voit directement à l'extérieur."

Comment le public a-t-il réagi face à ce nouveau look ? Mylène se souvient d’une anecdote rigolote. Lors d’une séance de dédicaces, certains fans ne l’ont tout simplement pas reconnue ! « C’est très drôle (…) derrière nous, il y avait les écrans des anciens clips et les petites filles ‘bugaient’ un petit peu. Les garçons (Sébastien et Jérémy, ses acolytes, ndlr) disaient en rigolant, ‘Non, non Mylène on en avait marre, on a pris Marlène, sa sœur.”