Une étude, réalisée par des chercheurs de l'Université d'Adélaïde, en Australie, et dont les résultats sont parus dans le Journal international d'obstétrique et de gynécologie, montre l'intérêt, pour les femmes âgées de plus de 40 ans, d'avoir recours à la PMA.
Le taux le plus bas de malformations congénitales
Alors que le risque de malformations congénitales est de 8 % pour les femmes concevant naturellement un bébé passé l'âge de 40 ans, il n'est que de 3,6 % lorsqu'elles ont recours à la PMA.
Cette étude nous apprend que le risque majeur de malformations congénitales suite à une grossesse par PMA culmine à 29 ans, avec une prévalence de malformations de plus de 9 %.
Pour l'instant, les chercheurs ne font que constater cette bonne nouvelle sans, toutefois, pouvoir l'expliquer.