Cette nouvelle étude menée par les chercheurs du New York Langone Medical vient confirmer les effets de la pollution de l’air sur les naissances prématurées. En effet, cela augmente les taux de produits chimiques dans le sang, ce qui peut affaiblir le système immunitaire de la femme enceinte. Le placenta joue alors moins bien son rôle de barrière de protection. Ce qui peut augmenter les risques de naissance avant terme. Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs ont analysés les données d’exposition à la pollution atmosphérique et le nombre de naissances prématurées dans les différents états des Etats-Unis. Ils ont par la suite fait une estimation du coût sanitaire de ces 16 000 naissances prématurées qui s’élève à 4,33 milliards de dollars dont 760 millions pour les hospitalisations prolongées et les traitements. A noter qu’aux Etats-Unis, le taux de prématurité (11 %) est l’un des plus élevés des pays industrialisés. En France, par exemple, il atteint 7 % des naissances. Cette étude incite les femmes enceintes à encore pus de prudence vis à vis des produits toxiques durant leur grossesse.
Source : Santé log
La pollution favoriserait les naissances prématurées
Publié le par Christine Avellan
Une étude américaine confirme que la pollution atmosphérique serait responsable de 3% des naissances prématurées, avec un pic dans les zones urbaines.
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