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Les Fivettes : l’histoire vécue d’une fécondation in vitro

Publié le par Véronique Bertrand

‘Les Fivettes’ est un journal intime qui se lit comme un roman. Et qui, comme dans les contes pour enfants, finit bien.

On estime qu’environ 10 % des couples connaissent des problèmes d’infertilité. Dans 30 % des cas, c’est l’homme qui a un problème, dans 30 % d’autres cas, il s’agit de la femme, dans 30 % ce sont les deux partenaires qui ont des soucis. Et il reste 10 % pour lesquels les médecins n’ont pas d’explication.

Près de 25 000 naissances d’enfants

Les fécondations in vitroreprésentent environ 25 000 naissances annuelles, soit 3 % environ. ‘Les Fivettes’ raconte l’odyssée de la fécondation in vitro. C’est l’histoire d’une jeune femme, Carla, qui est professeur de philosophie et qui, à 40 ans, file le parfait amour avec son compagnon. Un amour qui leur donne envie de fonder une famille, d’avoir un enfant. Mais à partir de ce moment-là, des cailloux vont venir s’insérer dans les rouages de leur belle histoire d’amour. Ils n’arrivent pas à concevoir un bébé.

Une expérience personnelle et douloureuse

Face à cette infertilité, le couple décide d’avoir recours à la fécondation in vitro. Un parcours semé d’embûches, mais aussi de belles rencontres avec d’autres femmes dans le même cas. Le roman aborde les espoirs, les questionnements, les amitiés qui se lient, les déceptions… Il se conclut par un message d’espoir aux femmes qui ne pourront jamais être enceintes : on peut se sentir mère sans avoir un enfant que l’on a porté.

Mère de jumeaux

L’auteur, Eleonora Mazzoni, venait juste d’envoyer son manuscrit à son éditeur quand elle a appris qu’elle était enceinte. Aujourd’hui, elle est maman de jumeaux.

‘Les Fivettes’, éditions Chèvre-feuille étoilée, 18 €

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