"J'ai un parcours gynéco un peu compliqué" : Nathalie Simon se confie sur son combat pour tomber enceinte

Publié le par Arthur Blanquet

Dans un podcast, l'ancienne championne de planche à voile et animatrice s'est confiée sur les difficultés qu'elle a eues à tomber enceinte de Nina, sa fille unique.

Maman de Nina, une fille de 26 ans, Nathalie Simon s'est confiée, ce lundi 25 mars, sur les difficultés qu'elle a eues à tomber enceinte. Dans le podcast Long Live, l'animatrice, connue pour avoir présenter La Carte aux trésors ou encore Intervilles sur France Télévisions, est revenue sur sa grossesse compliquée, expliquant notamment avoir eu recours à la Procréation Médicalement Assistée (PMA) pour tomber enceinte. "Ça a été un parcours très compliqué pour moi. C'était très compliqué. Ça s'est passé de façon très médicale la grossesse. J'ai dû avoir plusieurs PMA. J'ai un parcours gynéco un peu compliqué", a-t-elle confié.

Elle subit une lourde opération après son accouchement

Grâce à cette PMA, la petite Nina voit donc le jour en 1998. Une naissance qui a eu un véritable impact pour Nathalie Simon et notamment sur sa vie de couple avec Tanguy, son mari depuis 40 ans. "C'est génial parce que ça construit une famille et en même temps, ça déconstruit un peu une vie de couple. Surtout que Nina, elle est arrivée, on avait 18 ans de vie à deux donc ça a été difficile pour elle de trouver sa place dans ce couple fusionnel que nous sommes", explique-t-elle. Après sa grossesse, Nathalie Simon a subi une lourde opération pour mettre fin aux douleurs qui lui gâchaient la vie. "J'ai dû avoir une opération. Plus d'ovaires, plus de trompes, confie l'animatrice. J'avais beaucoup de fibromes. Le médecin m'a dit que ce serait bien qu'on enlève tout. Je me suis dit que je serai enfin débarrassée de ce truc qui me pose problème depuis toujours."

Nathalie Simon : ses confidences sur sa ménopause et sur son traitement d'hormonothérapie

Dans ce même podcast, Nathalie Simon, ancienne championne de planche à voile, se livre également sur sa ménopause, expliquant avoir opté pour de l'hormonothérapie. "Pourquoi j'ai suivi [ce traitement] et que je continue de le suivre ? C'est qu'il y a une pathologie chez les sportives ménopausées, notamment avec les tendons, les ligaments… C'est qu'on se dessèche la peau, mais aussi le reste. Avec l'hormonothérapie, on fait croire à notre corps qu'on n'est pas ménopausée, mais on l'est quand même", révèle-t-elle.