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Prénoms : cet algorithme vous aide à choisir le prénom de votre enfant

Publié le par Mathilde Saez

Pour les éternels indécis, un algorithme devrait vous aider à choisir le prénom de votre futur enfant. Et croyez-le ou non, ça fonctionne plutôt bien ! Le détail.

Lily ? Mia ? Emma ? Ou Louise ? Et Suzette... c'est joli Suzette aussi... Vous accouchez dans quelques semaines et vous ne vous êtes toujours pas décidé.e sur le prénom de votre enfant ? Pas toujours facile de faire un choix, tant la responsabilité qui nous incombe nous semble immense. Et encore faut-il tomber d'accord avec l'autre parent. Que ça sonne bien avec le nom de famille. Que ça soit original, mais pas trop. Bref, le choix du prénom peut vite tourner au casse-tête. Alors pour vous aider à y voir plus clair, un outil a été créé. Ça s'appelle, Names I like

Plutôt Eliot ou Martin ?

Le principe est tout bête. En vous rendant sur ce site, vous allez devoir entrer le sexe de votre futur enfant, puis répondre à 20 questions. A chaque fois : une liste de prénoms, et vous cliquez sur celui que vous préférez. Par exemple, choisissez entre : Eliot, Elouan, Martin et Benjamin. Ou entre Elisa, Adèle, Anaé, Maïa et Chloé. En recoupant vos réponses, l'algorithme va ensuite vous soumettre 30 propositions qui vous correspondent, accompagnées de la cote de popularité des prénoms suggérés. 

Ça paraît un peu cliché, un peu simpliste mais, croyez-le ou non, ça fonctionne plutôt pas mal. La preuve ? En testant l'outil, j'ai pu retrouver les prénoms de mes enfants parmi la liste de ceux qui m'étaient suggérés. Peut-être suis-je une personne prévisible me direz-vous... Mais outre le côté fun de l'outil, il pourra au moins vous aider à trouver l'inspiration et savoir les prénoms que vous aimez, et ceux qui sont inenvisageables. 

Une tête à s'appeler Alexandra...

Et même si ça n'est qu'un prénom et qu'il n'y a pas de déterminisme, sachez tout de même que le prénom peut avoir une réelle influence sur notre personnalité et sur la manière dont nous allons être perçu.e par les autres. Ainsi, une étude menée par une équipe franco-israélienne en 2017 a établi qu'il y avait bien "une tête de...". C'est-à-dire que nous aurions tous une idée préconçue de ce à quoi devrait ressembler une Marie ou une Alexandra. "Nous sommes soumis à la structuration sociale dès la minute où nous naissons, non seulement par notre genre, nos origines ethniques et notre statut économique, mais aussi par le simple choix que d’autres font en nous nommant" concluent les auteurs. 

 

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