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51,2 % des femmes ayant subi une IVG utilisent un contraceptif

Publié le par Ysabelle Silly

La moitié des femmes qui avortent utiliseraient pourtant un contraceptif, selon une recherche menée par le Planning familial britannique.

L'interruption volontaire de grossesse (IVG) est pratiquée par les femmes qui ne souhaitent pas poursuivre une grossesse. Si l'avortement est autorisé en France et dans d'autres pays, les personnes concernées se voient tout de même encore reprocher leur manque de précautions.

Les contraceptifs pas efficaces à 100 %

Une étude du British Pregnancy Advisory Service (Planning familial britannique) révèle que s'il existe de nombreux moyens de contraception, ils ne seraient pas efficaces à 100 %.

Les chercheurs ont interrogé 60 592 femmes ayant eu recours à l'IVG en 2016. Ils ont appris qu'au moment où elles sont tombées enceintes,24,2 % utilisaient une méthode de contraception hormonale dépendante de l'utilisateur (pilules, patchs, anneaux) ou un contraceptif réversible à longue durée de vie (injections, implants, Dispositif Intra-Utérin – DIU ou stérilet, et IUS). 51,2 % utilisaient des contraceptifs non-hormonaux tels que les préservatifs et les diaphragmes.

Parmi les méthodes de contraception existantes, certaines sont plus efficaces que d’autres. Les moyens de contraception les plus sûrs ? L'implant et le stérilet, efficaces entre 99,2 et 99,9 %, selon le site . S'il affiche 98 % de fiabilité, le préservatif serait le moins efficace pour empêcher une éventuelle grossesse. En effet, il est avant tout utilisé pour lutter contre les infections sexuellement transmissibles, mais peut se percer pendant l'acte sexuel...

 

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