Les relations amoureuses seraient rythmées par des phases : 3 ans, 7 ans, 9 ans… Mais qu’en est-il de la réalité ? Une étude a été publiée dans le Journal of Sex Research et menée auprès de 313 adultes israéliens âgés en moyenne de 32 à 33 ans. Tous sont mariés depuis au moins un an et sont hétérosexuels. Leur fidélité a été comparée à leur durée de mariage et le résultat est sans ambiguïté : les couples qui sont ensemble depuis un certain nombre d'années sont ceux qui sont les plus susceptibles de se tromper.
Plus précisément, c’est à la septième année de mariage que les risques d'infidélités sont les plus grands. Mais paradoxalement, ils diminuent par la suite. Pour preuve, la tromperie est, d’après les résultats de l’étude, presque inexistante chez les femmes mariées depuis plus de vingt ans. La plupart des divorces surviendraient donc juste après avoir fêté ses sept ans de mariage. La durée moyenne d’un mariage selon cette enquête serait donc de huit ans.
Un regain d’infidélité chez les hommes à la 18ème année de mariage
Autre fait mis en évidence par l’étude : les hommes et les femmes ne seraient pas égaux face à la tromperie. En effet, les hommes comme les femmes ont donc plus tendance à commettre des infidélités vers les sept ans de mariage. Mais si la tendance baisse ensuite drastiquement du côté des épouses, les hommes quant à eux, voient revenir des envies d’ailleurs à partir de la 18ème année de mariage. Soit plus de dix ans après cette dangereuse période des sept ans.