L’éducation d’un enfant est un apprentissage quotidien, les parents ne le savent que trop bien. Les erreurs sont inévitables et il arrive parfois qu’un papa ou une maman regrette assez vite la réaction qu’il a pu avoir avec sa progéniture, notamment lorsque cette dernière se met en colère ou fait un caprice. Le premier réflexe est en effet souvent de rentrer dans son et de sortir, à son tour, de ses gonds. Seulement, pour Jen Foster, enseignante et instagrameuse, cette attitude est contre-productive. Elle a donc dévoilé sur le réseau social 5 phrases afin d’apaiser sans heurt la situation.
5 phrases simples mais très efficaces
Voici donc les 5 phrases recommandées par la spécialiste :
- "Je t'écoute"
- "Tu n'es pas en train de te faire gronder"
- "Trouvons une solution ensemble"
- "Tu n'es pas seul" "
- "Je tiens vraiment à toi"
Et l’enseignante de préciser ces phrases permettront aux parents de se reconnecter avant l’enfant et donc indirectement de le calmer:"Quand je sens qu’un enfant est hors de contrôle et qu’il est en train de me pousser à bout, ces phrases sont les petites recettes miracles pour dissiper les tensions ! Parce que c'est seulement quand nous arrivons à nous connecter avec l’enfant que nous pouvons trouver une solution. Entrer dans une forme de lutte de pouvoir est ne sert à rien » insiste-t-elle.
Transformer les menaces en une réaction positive
Parfois, le simple fait de reformuler notre discours peut avoir un impact considérable sur l’enfant. Cela vaut également pour les conséquences. Lorsque notre enfant fait quelque chose qu'il ne devrait pas, certains parents passent automatiquement en mode menace. Cependant, transformer cette menace en quelque chose de positif peut faire des merveilles pour communiquer avec l’enfant, tout en transmettant le même message. L’experte cite ainsi un exemple : "Si tu ne n’es pas sage, alors nous partons !" par "Si tu restes sage, alors nous pouvons rester et jouer." Au final, cela signifie la même chose, mais les jeunes cerveaux préfèrent entendre ce qu'ils peuvent faire plutôt que ce qu'ils ne peuvent pas faire." conclut-elle.