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Valérie Pécresse maman de trois enfants : « Ma famille n'a pas été épargnée »

Publié le par Mathilde Saez

Valérie Pécresse ne cache plus son ambition d'accéder à la plus haute fonction de l'Etat. Mais pour y parvenir, elle doit briser sa carapace, quitte à dévoiler (un peu) de son intimité familiale.

Le 22 juillet 2021, Valérie Pécresse a annoncé sa candidature attendue à une primaire de la droite, en vue de l'élection présidentielle de 2022. Celle qui se rêve première femme présidente de la République française le sait, elle prend le risque d'exposer sa famille. Déjà pour en arriver là où elle est, elle a dû sacrifier beaucoup de temps auprès de ses enfants. Mariée depuis 1994 à Jérôme Pécresse, elle est à la tête d'une famille de trois grands enfants, Baptiste, 25 ans, Clément, 23 ans et Emilie, 18 ans. Et malgré son emploi du temps très chargé, elle parvient à garder une relation très forte avec eux et peut compter sur leur soutien inébranlable, comme elle l'a confié dans les colonnes du dernier numéro de Gala

Des enfants fiers de leur maman

En évoquant ses grandes ambitions politiques, Valérie Pécresse explique : "Je sais ce que cela implique en termes d'exposition. Par le passé déjà, ma famille n'a pas été épargnéeMais ils ont, je crois, une certaine fierté du travail que j'ai accompli." Avant de se lancer dans la course à la présidentielle, elle a d'ailleurs demandé l'avis de ses enfants et a reçu toute leur bénédiction. Sa fille notamment, est particulièrement fière."Ma fille est ravie que je porte une candidature au féminin", a détaillé l'actuelle présidente de la région Ile-de-France. Pour pallier les absences fréquentes de leur maman, les enfants ont jeté leur dévolu sur un adorable petit chien, Drops, qui fait toujours partie de la famille. ""Nous l'avons adopté quand je suis devenue ministre. Mes enfants souffraient de mes absences. Il a été un soutien affectif", confesse Valérie Pécresse.

Faire face au machisme

Quant à son mari, pour lui non plus les choses n'ont pas été simples ."Il a dû supporter le machisme inversé à son égard. Quand les enfants étaient plus jeunes et que j'étais ministre, il a pris plus que sa part dans le partage des tâches. Cela prouve que rien n'est impossible, et que lorsque l'on veut équilibrer la charge mentale, il n'y a pas de fatalité", confie-t-elle au magazine. 

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