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Une maman transforme une envie de grossesse en un business à 6 chiffres !

Publié par Jérémy Puech  |  Mis à jour le

Une maman australienne de 33 ans, tombée amoureuse d’une gourmandise mexicaine alors qu’elle était enceinte, a décidé de les fabriquer elle-même puis de les vendre. Elle est aujourd’hui à la tête d’une affaire très florissante.

 

Ce n’est pas un scoop. Lorsque l’on est enceinte, les fringales et autres désirs alimentaires sont légion. Il y a les fameuses envies de fraises ou de chocolat bien sûr mais pas seulement. Une odeur ou même la simple vue d’un met peut engendrer une attirance irrépressible. Cette insatiable envie de grignoter ou de manger en grande quantité envahit la future mère, particulièrement lors du premier trimestre de grossesse. Un « symptôme » peut durer jusqu’à l’arrivée du bébé. Côté hormones notamment, les œstrogènes sont en cause, expliquant que les femmes enceintes soient plus ou moins attirées ou, a contratrio, dégoutée de certains aliments. Jasmin, une maman australienne de 33 ans, n’a pas échappé à la règle. Alors qu’elle est enceinte de son deuxième enfant, elle tombe sur le réseau social Tik Tok, sur une vidéo d’une femme, d’origine mexicaine, en train de concocter de drôles de sucettes. Une envie soudaine d’en manger une la prend alors. Elle décide donc d’en commander et le coup de foudre visuel ce transforme en coup de foudre gustatif. Elle décide alors de les reproduire et de les vendre à son tour. Le début d ’une incroyable success-story.

La maman fascinée par une friandise mexicaine

Nous sommes en 2020. Jasmin Piho, une mère de famille australienne habitant Sydney, est enceinte de son deuxième enfant. Déjà maman d’une petite fille prénommée Mere, elle attend désormais un petit garçon. Un jour, alors qu’elle navigue sur Internet, elle découvre sur Tik Tok la vidéo d’une femme mexicaine, dévoilant une recette de sucette sucrée/salée/épicée. Des gourmandises courantes dans les rues mexicaines. Il s’agit de friandises molles, arrosées de sauce chamoy (un condiment salé connu au Mexique) et d'épices locales. « Lorsque j’ai regardé la vidéo de la recette, j’ai été fascinée, même s’il ne s’agissait que d’une dame qui versait des sucettes dans un bol. Elle comptait tout de même 80 000 followers et des millions de vues » raconte la mère au site australien 7news. Intriguée, elle décide donc de de commander ces mets à l’aspect appétissant et dès les premières bouchées, elle se régale.  « C'était délicieux, une vraie bombe de saveurs. Je me suis dit que si j'aimais ça, tout le monde aimerait » explique-t-elle.

« Honnêtement, je pensais que ça allait marcher »

Elle décide alors de se mettre en cuisine et de les préparer à la maison. Elle commande donc en ligne tous les ingrédients nécessaires et se lance. D’autant que nous sommes en pleine pandémie de Covid-19 et avec ses deux bambins à la maison – elle a accouché entre temps- elle souhaite se changer les idées et surtout mettre un peu de beurre dans les épinards, elle qui est au chômage forcé. Elle crée ensuite un compte Tik Tok, baptisé Swish'n'Delish et met en vente ses premières friandises.  « Honnêtement, je pensais que ça allait marcher » assure Jasmin. Mais les premières semaines, elle fait un bide monumental avec seulement quelques « vus » et « j’aime » au compteur. Un poil découragé, elle continue cependant ses préparations et en vend quelques-unes à des amis et à des membres de sa famille. Les semaines passent et la sauce ne prend toujours pas, à son grand désespoir.

L'idée de la maman se transforme en business juteux

Mais un matin, à son réveil, le miracle se produit. Lorsqu’elle allume son téléphone, des centaines de notifications apparaissent, lui signifiant un nombre incroyable de commandes. En tout pour la somme de 2800 dollars, soit un peu plus de 2600 euros. « Je n'arrivais pas à y croire se souvient-elle. L'une de mes vidéos était devenue virale. » Les jours suivants, les commandes s’enchainent à tel point que, débordée, elle fait appel à ses cousins pour lui venir en aide. Depuis, sa réussite ne s’est pas démentie. Sa marque ne fait que grandir et elle propose désormais d’innombrables saveurs dont son « best-seller », un grand cornichon, farci de bonbons et enveloppé de toutes sortes fruits. En 2022, sa société affichait un chiffre d’affaire de 300 000 dollars. Morale de l’histoire : parfois, être enceinte peut amener loin, très loin même.

Oui
il y a 3 mois
Un téléphone ne doit pas perturber des cours et donc des apprentissages. Il devrait donc naturellement rester à l'entrée de l'établissement scolaire e...
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Lire 16 arguments Oui
Photo de profil de Jyline Roncin
25 points
Non
il y a 3 mois
Non, MAIS de quel âge parle t'on ? Les petits de primaire ne devraient pas avoir à se servir d'un téléphone.. Ils sont assez bien entourés par les en...
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