Un vaginen bonne santé renferme, principalement, des bactéries Lactobacillus. Ces dernières protègent les femmes des infections urogénitales car elles maintiennent un pH bas, c’est-à-dire inférieur à 4,5. Elles protègent aussi desinfections sexuellement transmissibles, du VIH et des infections àHPV.
Moins de Lactobacillus après la ménopause
Au moment de la ménopause, ces bactéries Lactobacillus se font moins nombreuses d’où, souvent, une moins bonne santé sexuelle. Les femmes ménopausées se plaignent davantage de sécheresse vaginale, ce qui rend les rapports sexuels douloureuxet donc moins nombreux, d’un syndrome génito-urinaire avec des infections urinaires plus fréquentes, voire des fuites, d’une atrophie vulvo-vaginale.
Pour rééquilibrer la flore vaginale, jusqu’à présent la solution reposait sur un traitement à base d’œstrogènes. Cette étude montre que de nouveaux traitements pourraient être proposés, notamment à base de probiotiques oraux et vaginaux.
Dans l’attente de nouveaux traitements, il est important d’oser parler de ces problèmes avec son médecin, de poser les questions, car aucune n’est taboue : le médecin n’est pas là pour juger son patient mais, au contraire, pour l’aider du mieux qu’il peut.
“Vous avez envie d’en parler entre parents ? De donner votre avis, d’apporter votre témoignage ? On se retrouve sur https://forum.parents.fr. ”