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Saint-Valentin : qu’attendons-nous d’un premier rendez-vous ?

Publié le par Véronique Bertrand

En ce jour de Saint-Valentin, qu’est-ce que les femmes et les hommes attendent d’un premier rendez-vous, qui en déclenchera peut-être un deuxième ? Quelles sont les erreurs à ne pas commettre ?

Zava, site expert en téléconsultation médicale, a réalisé une enquête, “Les attentes du premier rendez-vous”, auprès de plus de 1 000 Européens et Américains, par internet. Voici ce qu’il en ressort.

Rire et être propre !

83 % des hommes et 77 % des femmes optent, avant tout, pour l’humour et une hygiène irréprochable. Ces deux critères donnent toutes les chances d’être recontacté pour un autre rendez-vous galant.

Quant au lieu des retrouvailles, rien que de très classique, ce qui est préféré c’est le restaurant. Et si les Européennes ne voient pas d’inconvénient à partager la note en fin de repas, les Américaines, elles, estiment que celui qui paie est celui qui a invité.

Les sujets tabous

Pour que ce premier rendez-vous ne tombe pas à l’eau, il est préférable de ne pas axer la conversation sur certains sujets qui sont considérés comme tendancieux. Lesquels ? Les ex-fiancé(es) ou petit(es) amis, la politique et la religion.

Aller jusqu’au bout ou pas le premier soir ?

Qu’il s’agisse des Européens ou des Américains, les hommes sont 76 % à se dire prêt à coucher dès le premier soir si le premier rendez-vous s’est bien passé. Les femmes, en revanche, sont un peu plus réticentes. Seules 42 % des Européennes et 37 % des Américaines y sont favorables.

Et si rien ne va plus ?

Si ce premier rendez-vous est loin d’être comme on l’avait imaginé, que faire ? 32 % des Européennes et 53 % des Américaines restent un temps convenable avant de partir dès que possible. Ils sont respectivement 23 % des Européens et 51 % des Américains à agir de la même manière. 32 % des Européennes et 16 % des Américaines préfèrent inventer une excuse pour partir plus tôt, tout comme 16 % des Européens et 9 % des Américains. Pas très fair-play, 2 % des Européennes et des Américaines choisissent de disparaître par la porte de derrière sans dire au revoir, tout comme 5 % des Européens et 1 % des Américains.