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Parents de triplés, ils se permettent une fantaisie incroyable !

Publié le par Guillaume Botton

Ce couple d’Anglais, parents de triplés, a osé donner à leurs enfants le même prénom que le leur. Explications.

Lorsque l’employée de cette école maternelle anglaise a découvert le dossier d’inscription, elle n’en est pas revenue. Comme elle le raconte sur Facebook, alors qu’elle se met à trier les fiches pour la rentrée prochaine, elle tombe sur un dossier pas comme les autres.

« C’était nos premiers ! »

Elle raconte : « Un parent est venu aujourd’hui pour déposer le formulaire d’inscription de ses fils pour la nouvelle année scolaire » Ses fils ? Il s’agit en effet de triplés, à la plus grande joie de la jeune femme « C’était nos premiers ! » s’enthousiasme-t-elle sur le réseau social. Avant d’être quelque peu interloquée une fois le nez dans le dossier, en découvrant les prénoms des trois enfants : Justin-Lee, Justin-Max et Justin-Austin.

« Les trois garçons doivent tous être appelés Justin ! »

Au premier abord, on se dit que la solution est toute trouvée : les appeler Lee, Max et Austin. Mais souci, d’après le papa, « les trois garçons doivent tous être appelés Justin ! », assure l’employée. La (fausse) blague ne s’arrête pas là. Figurez-vous que le père se prénomme Justin et la maman… Justine ! « Non mais tuez-moi », sourit-elle.

Les internautes outrés

Sur Facebook, ses abonnés ont réagi en masse, allant dans son sens. Un internaute assure ainsi que« c’est juste cruel, honnêtement. Ces garçons vont se débattre avec leur identité toute leur vie parce que tout le monde les traitera comme une seule personne, ce qui arrive tout le temps aux jumeaux et aux triplés »

Rappelons qu’en France, la loi du 8 janvier 1993 offre aux parents la possibilité de donner n’importe quel prénom, dans la mesure où il ne porte préjudice ni au droit des tiers, ni à l’enfant. Pas sûr donc que le prénom Justin, multiplié par 3, aurait été accepté dans notre pays.

Oui
il y a 3 mois
Les écrans sont une addiction comme les autres. En abuser c'est consentir à droguer son enfant en le rendant dépendant de la communication virtuelle, ...
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Non
il y a 1 mois
Oui et non. 1. ​Oui ​pour la télévision , 2. ​non pour l'internet. 1. ​Nous avons renoncé à la télévision depuis 2010 ! ​2. ​Pour ​int...
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