Un retour très attendu par son public le plus fidèle. Ce 13 avril 2024, à 15h35 sur France 3, Julie Andrieu va présenter une nouvelle saison de son émission Les Potagers de Julie, Pour l’occasion, l'animatrice s’est confiée à Télé-Loisirs sur différents pans de sa vie et notamment l’éducation alimentaire qu’elle donne à ses enfants, Hadrien, 15 ans et Gaïa, 8 ans. Et force est de constater qu’ils semblent suivre les dignes traces de leur maman puisque selon cette dernière, ils sont tous les deux passionnés de cuisine. Lorsque la journaliste de Télé-Loisirs lui demande ainsi si ses progénitures partagent comme elle le goût pour la cuisine, la réponse de la présentatrice est sans équivoque. « Bien sûr, qu’ils partagent le goût pour la cuisine, ndlr). Depuis leur entrée en petite section, tous les ans je propose des ateliers cuisine dans leurs classes, et avec eux je cuisine énormément. Je leur fais goûter beaucoup de choses. » Et la mère de famille d’en dire un peu plus sur l’éducation alimentaire qu’elle leur a inculquée :« Je ne suis pas une maman hyper rigide, j'estime qu'il ne faut rien mettre au ban de notre alimentation. On fait nos propres choix quand on a été éclairés par des parents qui nous apprennent à avoir ce discernement. »
Ses confidences poignantes sur son anorexie passée
Il faut dire qu’avec le temps, Julie Andrieu, ancienne anorexique, a appris à entretenir une relation saine avec la nourriture. Au cours de cet entretien, elle a évoqué la genèse de sa maladie : « À 18 ans, mon pédiatre m’a dit que j’avais beaucoup grossi et m’a suggéré un régime en urgence » explique-t-elle. « Avec le recul, je pesais 10 kg de plus qu’aujourd’hui, mais à cet âge-là, c’était normal. J’ai plongé dans les régimes "miracles". J'ai cru aux vendeurs de rêves des magazines féminins qui vous expliquent que si vous ne mangez que des fruits rouges pendant une semaine vous allez perdre 5 kg. Je suis entrée dans ces périodes où l'on s’affame, puis on craque et on mange trois paquets de gâteaux d’affilée. » Et l’animatrice de détailler les circonstances de sa guérison : « J’ai fini par comprendre qu’en allant manger des terrines de foie de volaille et des petits salés aux lentilles, je ne grossissais pas. Et surtout, j’allais mieux dans mon corps et dans ma tête. Je me suis sortie de ça grâce à la cuisine. Tout d’un coup la nourriture était une amie plutôt qu’une menace. »
