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Les propos bouleversants de la sœur des frères Bogdanoff sur leur mort

Publié le par Marie Odievre

Véronique Bogdanoff, la sœur des frères Bogdanoff, était l’invitée de l’émission Ça commence aujourd’hui le 18 décembre dernier. Pour l’occasion elle s’est confiée sur la mort des jumeaux.

 

Face à l’animatrice Faustine Bollaert, sur le plateau de l’émission Ça commence aujourd’hui le lundi 18 décembre, Valérie Bogdanoff, soeur d’Igor et Grichka Bogdanoff, décédés tous deux du Covid-19 à six jours d’intervalle, est revenue sur la relation qu’elle entretenait avec les jumeaux, et sur leur décès. Elle fait suite à Amélie de Bourbon-Parme, ex-compagne d’Igor Bogdanoff, qui s’était elle aussi exprimée en juin dernier sur la relation unique qui liait les deux frères. 

Selon Valérie, il aurait été "compliqué qu'Igor survive à Grichka"

Sur le plateau de l’émission Ça commence aujourd’hui, Valérie Bogdanoff évoque la disparition de ses deux frères, emportés tous les deux par le Covid, le 28 décembre 2021 et 3 janvier 2022. Selon elle, les jumeaux ont été unis dans le départ"Pour ce qui me concerne oui, après c'est pas toujours facile dans l'entourage parce qu'on pense à l'individualité, à l'unicité, des jumeaux, de chacun d'entre eux, moi très sincèrement, c'était les jumeaux, et ça aurait été vraiment compliqué que Igor survive à Grichka". Une “consolation” pour Véronique Bognaoff, qui estime que les deux frères sont au moins réunis. 

C’était impossible d’imaginer l’un sans l’autre", les propos d’Amélie de Bourbon-Parme

Les deux producteurs et animateurs de Temps X, une émission de vulgarisation scientifique diffusée durant les années 1980 sur TF1, étaient inséparables. C’est ce qu'affirme notamment Amélie de Bourbon-Parme, l'ex-conjointe d'Igor "Il formait un binôme avec son frère qui était indestructible. Ce n’était même pas la peine d’essayer quoi que ce soit. [Mais ce binôme] les isolait. Il les rendait presque inaccessibles à certaines choses. […] Au fond, c’était quelque chose qui était admis. Dans une famille, il y a toujours un concurrent : une belle-mère, un frère, une sœur. […] Ils sont restés inséparables jusqu’au bout. C’était impossible d’imaginer l’un sans l’autre"