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Journée des droits des femmes : plus de 160 manifestations prévues en France

Publié le par Arthur Blanquet

Plus de 160 manifestations sont prévues, ce vendredi 8 mars, en France, à l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes. Emmanuel Macron prendra, de son côté, la parole à midi.

Ce vendredi 8 mars 2024 marque une nouvelle Journée internationale des droits des femmes et promet d'être riche en événements. En effet, plus de 160 manifestations sont prévues un peu partout en France. A Paris, un cortège partira dès 14 heures de la place Gambetta pour se rendre place de la Bastille. A Bordeaux, la manifestation débutera à midi place de la Victoire. A Marseille, elle s'élancera dès 10 heures depuis la place du Général de Gaulle. Nos confrères de Ouest-France ont répertorié les heures et les lieux des 160 manifestations officielles prévues, en France, ce vendredi 8 mars, à l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes.

Les événements liés à cette journée ne se tiendront pas exclusivement dans la rue. Dès 9h30, Stéphane Séjourné, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, présidera un événement au cours duquel il remettra le prix 2024 Simone Veil de la République française pour l’égalité entre les femmes et les hommes. Un peu plus tard dans la journée, à midi, Emmanuel Macron prendra la parole depuis la place Vendôme, à Paris, lors de la cérémonie de scellement de l’inscription de l’interruption volontaire de grossesse (IVG) dans la Constitution. Le président de la République rendra hommage à dix femmes "qui ont contribué par leur combat à la loi constitutionnelle", déclare l’Élysée.

8-Mars : un appel à la "grève féministe" lancé

Plusieurs organisations féministes appellent, de leur côté, à la grève du travail et des tâches domestiques ce vendredi, afin de réclamer des mesures en faveur de l’égalité entre les sexes. Cette journée internationale des droits des femmes "est l’occasion de prendre la rue" pour donner de la visibilité et défendre les droits, notamment des "salariées essentielles mal payées", des "premières de corvées" et des "femmes victimes de violence", lance Anne Leclerc, membre du collectif qui organise cette "grève féministe".