Le grand retour approche. Le 16 mai prochain, Audrey Fleurot endossera pour une nouvelle saison le costume de Morgane Alvaro dans HPI, la désormais très célèbre série de TF1. De nouveaux épisodes qui tourneront notamment autour de la quatrième grossesse du personnage qu’elle incarne. Pour Paris Match ce 25 avril 2024, la comédienne de 46 ans a accepté d’évoquer sa propre maternité. Maman d’un petit Lou, âgé de 7 ans, elle dit avoir trouvé un équilibre malgré son emploi du temps surchargé : « C’est rock’n’roll, mais ça se passe très bien », a ainsi confié la compagne du réalisateur Djibril Glissant, avec qui elle forme une famille recomposée (il a deux enfants de 10 et 17 ans).
Audrey Fleurot : « J’ai des phases de culpabilité »
Ne culpabilise-t-elle pas d’être trop éloignée de sa progéniture à cause de ses nombreux tournages ? A cette question, Audrey Fleurot répond : « De toute façon, en regardant autour de moi, je m’aperçois que la plupart des parents rentrent hyper tard, qu’ils ont une nounou matin et soir, font un bisou à leurs enfants au coucher et repartent au boulot le lendemain. » Elle explique ensuite faire au mieux pour être présente auprès de son fils. : « Quand je ne tourne pas à Paris, j’ai des phases de culpabilité, mais je rentre tous les week-ends et, quand je peux, je me débrouille pour emmener mon fils avec moi », a-t-elle ainsi précisé.
Elle « s’arrange pour vivre des moments exceptionnels »
Consciente ceci dit que son métier ne lui permet pas d’être une maman omniprésente pour lui, elle a admis qu’elle « rate sans doute des choses » mais que le papa de son fils « assure » et qu’il tente de compenser ses absences. Mais quand elle est auprès de siens, Audrey Fleurot l’assure, elle « s’arrange pour vivre des moments exceptionnels » avec sa famille. Une chose est sûre donc : elle a trouvé un « équilibre qui convient » aux siens : « Beaucoup ne pourraient pas s’accommoder de l’intermittence et ne supporteraient pas de ne pas être là tous les soirs. Moi, c’est le contraire. Il y a des moments où je travaille et où je me retrouve seule la nuit dans un Airbnb, et ceux où je rentre et me consacre pleinement aux miens. J’ai besoin des deux pour m’accomplir. »
