C’est une histoire encore une fois insolite qui nous vient de Grande-Bretagne. Une mère de famille n’a pas hésité à remettre tout son mariage en question et à demander le divorce à son mari après avoir fait une horrible découverte. Par le plus grand des hasards, cette dernière a découvert le terrible surnom que lui donnait son mari dans son dos, quand il parlait d’elle à leurs proches et à ses amis. Un petit nom loin d’être affectueux qui a très largement déplu à la mère de famille qui indique qu’elle s’est sentie blessée, au point de ne plus vouloir partager sa vie avec son époux.
Un mari absent
Si certaines demandent le divorce à leur mari en raison d’une infidélité, d’actes de violence ou alors d’un manque de communication, la raison évoquée par cette jeune mère est plutôt insolite. Auprès du Mirror, cette dernière a indiqué qu’elle avait divorcé de son époux après avoir découvert le surnom qui lui donnait dans son dos. Un petit surnom connu de tous les amis de son mari, comme elle l’a découvert par la suite. Cette dernière a souhaité rester anonyme pendant qu’elle témoignait de son expérience. Elle indique d’abord que le couple qu’elle formait avec son mari battait un peu de l’aile : « Depuis la naissance de notre fils, rien n’a changé pour mon mari », disait-elle au sujet de celui qui s’affichait toujours discret sur ses projets. Parfois, le mari disparaissait et ne s’occupait pas énormément de sa famille, selon le témoignage de cette femme désoeuvrée.
Un terrible surnom
Elle ne s’attendait alors pas à la découverte qu’elle allait faire. Alors que son mari se trouvait sous la douche, elle entend son téléphone « sonner » sans s’arrêter. Elle a pensé à une possible urgence. Elle découvre alors que son mari était en pleine discussion avec ses amis au sujet d’une soirée organisée la veille. Il y avait participé sans son épouse. Dans un des messages envoyés par ce dernier, il explique qu’il ne pouvait pas « préparer les boissons parce que CAQIFO dirait non ». Elle découvre alors que son mari l’appelle CAQIFO, l’alias de « Celle à qui il faut obéir » comme lui a expliqué dans le plus grand des calmes son mari. « Il ne s’agissait pas de m’obéir. Cela ne s’appelle pas « demander la permission » comme si j’étais sa mère », se défend celle qui a depuis divorcé de ce mari peu précautionneux. En effet, cette femme n’a pas accepté d’être assimilée à un bourreau auprès des amis de son mari et aurait préféré que son époux parle d’elle en d’autres termes. Une histoire insolite !