C’est une histoire comme on en entend très rarement ! Le 9 juillet 2023, le Mirror s’est fait l’écho d’une histoire de famille peu commune. Un père a témoigné de sa relation de crise avec sa femme. À l’origine de cette querelle ? Une simple histoire de viande ! En effet, le père de famille a donné de la viande à manger à leur fille dans le dos de sa femme, végétarienne. Le père de famille se défend auprès de nos confrères britanniques en indiquant qu’il ne donnait que quelques bouts de viande à sa fille lorsque l’occasion se présentait. Et ce, depuis un an.
Il révèle que sa fille - bien qu’en “bonne santé” pendant son régime totalement végétarien - a expressément fait part de son intérêt pour un burger que mangeait son père carnivore. La fillette a tellement aimé qu’ils ont décidé de renouveler l’expérience quand la maman n’était pas dans les parages. Malheureusement, sa femme a découvert le pot aux roses en voyant lors d’un pique-nique son mari proposer machinalement, par habitude, du poulet à son enfant, sans même réaliser que sa femme était là.
Sa femme l’accuse d’empoisonnement
L’épouse végétarienne a alors été si scandalisée par cette scène qu’elle a “crié” sur son mari en l’accusant d’empoisonner leur fille. "Elle affirmait que je n’avais aucune idée de la façon dont elle réagirait à la viande" dit-il. Une petite phrase qui l’a poussé à expliquer que sa fille mangeait de la viande depuis un an et qu’elle n’a jamais fait d’indigestion. Sa femme, pour laquelle la confiance est brisée, le menace alors de divorcer : "Elle dit qu’elle ne sait pas si elle pourra un jour me faire à nouveau confiance avec notre fille" rapporte-t-il. "Je comprends qu’elle soit contrariée mais je ne peux m’empêcher de penser qu’elle réagit de manière excessive », regrette-t-il par aillleurs.
Pour information, en France, d’après les résultats d’une enquête citée par le site internet spécialisé Lanutrition.fr 2,2 à 5 % de la population est végétarienne, et 10 % songent à le devenir. Les flexitariens, qui mangent végétariens quelques fois par semaine, représentent quant à eux 24 % de la population, comme l’indiquait une étude de France Agrimer.