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Comment éviter le blues du dimanche après-midi ?

Publié le par Véronique Bertrand

Le week-end fait seulement deux jours, alors si, en plus, on perd son dimanche après-midi à cafarder, il ne reste plus grand-chose pour en profiter. Pourquoi a-t-on le blues la veille de reprendre le travail, et que faire pour ne pas en souffrir ?

Vendredi 18 heures, le bonheur ! La semaine est finie et on va enfin pouvoir profiter du week-end pour faire du sport, aller au cinéma, se promener en forêt, recevoir des amis… Bref, la liste de nos envies peut être longue, très longue ! Mais on a deux jours pour s’y consacrer. Le samedi, on en profite à fond tout comme le dimanche matin. Et puis, quand vient le milieu du dimanche après-midi, notre entrain se gâte. De la vie en rose, on la voit en noir, ou tout au moins en gris. C’est forcément parce que demain, c’est lundi, et qu’il faut retourner travailler !

Comprendre ce moment de flottement

Le professeur de philosophie Gilles Vervisch, auteur de “Comment échapper à l’ennui du dimanche après-midi” aux éditions Flammarion, s’est expliqué au micro de nos confrères d’Europe 1.
La version du retour du début de la semaine est, en fait, un peu simpliste. Ce blues qui survient en milieu de dimanche après-midi, souvent vers 16 heures, a une autre explication pour lui. Le dimanche après-midi serait le seul moment de la semaine où l’on pourrait faire un peu d’introspection, réfléchir au sens de sa vie, car on est souvent peu occupé sur cette tranche horaire.

Que faire pour échapper au blues ?

Gilles Vervisch propose plusieurs solutions pour éviter ce petit moment de cafard : regarder des séries pour s’occuper l’esprit ou, selon ses goûts, faire de la musique, nager, courir pour libérer sa pensée. On essaie le week-end prochain !