Tous les parents ne le savent que trop bien : se débarrasser des poux représente un véritable chemin de croix. D’abord traiter, puis passer le peigne, laver ensuite chaque textile à haute température. Et souvent recommencer… Sans que le succès soit garanti. Mais force est de constater que pour certains, éradiquer ces parasites n’est pas une préoccupation majeure. Pis. Cela serait même criminel !
« Elle se grattait furieusement… »
Sur site Nine, une femme a ainsi expliqué la raison pour laquelle la maman de la meilleure amie de sa fille préfère les laisser en paix, enfin presque. Elle écrit : « Ma fille de sept ans est la meilleure amie de la fille d’à côté, dont la famille est vegan. C’est bien, nous respectons leur choix et préparons même des plats spéciaux lorsque River vient jouer. » Jusque-là, tout va bien. La maman poursuit : « Mon problème est que récemment, cette enfant, par ailleurs charmante, était chez nous et se grattait furieusement… Et j’ai découvert qu’elle avait des poux sur la tête. »
« Ma mâchoire a touché le sol »
Alors, bien sûr, elle en a touché deux mots à sa voisine. Une grosse erreur :« Cette femme m’a dit que non seulement elle était au courant de l’état de sa fille mais qu’elle refusait de traiter son crâne ». La raison de ce refus l’a laissée sans voix : « Les vegans ne tuent aucun être vivant. Ma voisine m’a donc dit qu’elle avait l’habitude de peigner les poux et les lentes dans le jardin où ils avaient une chance de survie. Ma mâchoire a touché le sol », conclut-elle son témoignage, avant de demander conseil à un coach de Nine. Le site est en effet un site où de nombreux experts conseillent dans différents domaines les internautes.
Une théorie totalement farfelue
Sans surprise, le spécialiste interrogé par cette maman n’en est pas revenu. Il fait tout d’abord remarquer que les poux ne survivent pas à l’air libre et que donc les enlever dans le jardin pour les maintenir en vie n’a pas de sens. Il livre ensuite un conseil pour éviter que la situation s’envenime : mettre un spray protecteur à sa fille et bien lui attacher les cheveux. La « poux » des braves en quelque sorte.