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« Un sujet de polémiques » : Nicolas Sarkozy raconte l'accouchement de Carla Bruni

Publié le par Guillaume Botton

Dans « Le temps des combats », son dernier livre, Nicolas Sarkozy ne parle pas que de politique. Il accorde notamment un long passage à sa fille, Giulia, issue de son amour avec Carla Bruni.

Les Français s‘en souviennent. Lorsque Nicolas Sarkozy était président de la République, de 2007 à 2012, sa vie privée avait été quelque peu chaotique. L’ancien chef de l’État avait divorcé d’avec Cécilia en 2007 – une première dans l’histoire de la Ve République pour un président, s’était remarié avec Carla Bruni en 2008 et, enfin, était devenu papa d’un quatrième enfant, une petite Giulia, née en 2011.

« Ma première fille et l’enfant de l’amour »

Fait rare, dans son dernier livre, « Le temps des combats », l’ex-maire de Neuilly-sur-Seine évoque avec tendresse l’arrivée au monde de cette dernière, son unique fille, ses trois autres enfants étant des garçons (Pierre, 37 ans, Jean, 36 ans et Louis, 26 ans). « Le 19 octobre 2011 fut une date importante pour notre famille, puisqu’il s’agit de la naissance de Giulia. C’est ma première fille et l’enfant de l’amour », débute Nicolas Sarkozy dans son ouvrage. L’homme politique raconte le jour de l’accouchement. Lorsque la poche des eaux de Carla rompt, Nicolas Sarkozy doit se rendre à Francfort pour rencontrer Angela Merkel, la chancelière allemande.

« Si notre enfant avait été un garçon… »

Avant son départ pour l’Allemagne, il décide donc d’accompagner son épouse à la clinique de la Muette, mais ne peut assister à l’accouchement : « J’étais rassuré de la savoir entre de bonnes mains. C’était un peu prématuré, mais prudent. Carla dut s’armer de patience. J’avais même demandé au chef de mon équipe médicale de demeurer sur place »,écrit-il.

Il précise également que ni lui, ni sa femme n’ont souhaité connaître durant la grossesse le sexe de leur future merveille. « Je fus prévenu à Francfort de la naissance de Giulia. C’était donc une fille. Si notre enfant avait été un garçon, nous l’aurions appelé Lorenzo ». Sur le chemin du retour, Nicolas Sarkozy est sur son petit nuage. « Après trois garçons, une fille ! Je ne pouvais imaginer plus grand bonheur […] Je fis connaissance avec Giulia… De ce jour, ma vie, notre vie, celle de toute la famille fut changée. Il m’arrive de me demander comment nous avons pu vivre sans celle qui a pris, à la seconde de sa naissance, une telle place », s’émeut-il.

« Même notre fille devait donc devenir un sujet de polémiques »

L’ex-ministre de l’Intérieur conclut ce chapitre par un peu de… politique. En effet, quelques jours après la naissance de Giulia, Marine Le Pen, présidente du Rassemblement national, avait regretté que l’enfant du Président de la France ne porte pas« un prénom français plutôt qu’italien. »

Une hérésie pour Nicolas Sarkozy : « Même notre fille devait donc devenir un sujet de polémiques. Ce n’était ni aimable, ni gentil, mais c’était surtout assez stupide […] Ramener le patriotisme à une affaire de prénom était caricaturalement réducteur. »

Oui
il y a 3 mois
Les écrans sont une addiction comme les autres. En abuser c'est consentir à droguer son enfant en le rendant dépendant de la communication virtuelle, ...
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il y a 1 mois
Oui et non. 1. ​Oui ​pour la télévision , 2. ​non pour l'internet. 1. ​Nous avons renoncé à la télévision depuis 2010 ! ​2. ​Pour ​int...
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