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Ariane Brodier se confie sur le déclic qui l’a amenée à rééqulibrer son alimentation

Publié le par Véronique Bertrand

Comédienne, humoriste et maman de deux enfants rapprochés, c’est lorsqu’elle est devenue maman qu’Ariane Brodier a décidé qu’elle voulait apprendre à manger sainement, pour elle et sa famille. Elle a choisi WW pour l’aider. Elle s’est confiée à nous.

Jeune ado, j’avais comme idoles Vanessa Paradis et Kate Moss. C’est à elles que je voulais ressembler. Mais j’étais pulpeuse et plantureuse, et je n’acceptais pas mes formes. Alors, dès l’âge de 13 ans, j’ai été dans la restriction alimentaire, je me sous-alimentais. Mes repas se composaient de salade en sachet Iceberg et de thon en boîte, ou de barres protéinées. Je me pesais 2 fois par jour, j’entendais qu’une femme devait peser 20 kg de moins que sa taille !

J’ai aussi testé de nombreux régimes : le régime citron, la soupe au chou, le jeûne intermittent… Mais je ne disais pas que j’essayais de maigrir tout le temps, car cela faisait frivole, égocentrée.

Au fil des années, mon corps m’a fait ressentir que je ne m’occupais pas bien de lui :  j’avais des pelades, des problèmes dentaires, articulaires…

Je ne voulais plus être dans la frustration

Lors de ma première grossesse, il ne fallait pas que ça se voie, quand on est comédienne, il faut garder la ligne ! Et la naissance de mon fils, en janvier 2018, m’a fait prendre conscience que je ne pouvais pas continuer à m’alimenter comme je le faisais. Je devais changer mes habitudes si je voulais que mon corps (que je surnomme ma machine) fonctionne comme il faut, notamment parce que je souhaitais allaiter. Je me suis alors rendu compte que si je me nourrissais de salade verte et de thon en boîte, je voulais que mon bébé ait toutes les vitamines et minéraux dont il a besoin pour grandir.

C’est alors que j’ai rencontré une coach WW. Et au début cela n’a pas été simple. Car Sophie, la coach, me disait qu’il fallait que je mange des pâtes ou du riz, en tous cas des féculents, à chaque repas. Comment est-ce possible ? Cela allait me faire grossir ! Et puis j’ai compris que WW allait m’apprendre à être bien dans mon corps, à atteindre mon juste poids pour que mon corps – qui est une machine – tourne bien. Car, ce que je voulais ce n’était pas faire un régime mais manger mieux.

D’ailleurs, au début, Sophie, m’a dit « tu as tellement été dans la restriction que pendant quelques semaines tu vas avoir une prise de poids, car ton corps va stocker au cas où il serait de nouveau en carence. »

Je cuisine les légumes de mon potager

Aujourd’hui, j’ai la chance de ne pas vivre sur Paris mais à la campagne, d’avoir un potager et de pouvoir cuisiner mes légumes. J’aime cuisiner mais je ne perds pas de temps pour autant, je suis organisée : je prépare en même temps une purée de courgettes saine pour mes enfants (car Ariane sait bien que, comme toutes les mamans, si ses enfants ne la finissent pas, pour ne pas gaspiller, c’est elle qui la terminera !), une ratatouille pour moi et mon conjoint et un caviar d’aubergines si on reçoit des amis. J’utilise l’appli.

Je prends aussi le temps de m’asseoir pour manger, et je sais maintenant qu’il faut que je mange des sucres lents, carburant de mon organisme. Ce qui est amusant avec WW, c’est que je poste régulièrement sur Instagram des plats que je cuisine et je demande à la communauté : d’après vous cela fait combien de points ? Et là j’ai des centaines de réactions !

J’ai encore des progrès à faire : car j’ai toujours du mal à prendre un petit-déjeuner !

Je m’aime et je suis aimée, c’est suffisant

Avant je ne m’aimais pas. A 30 ans, je n’étais donc pas prête à prendre soin de moi, de mon alimentation. Et puis le fait d’avoir un deuxième enfant à 40 ans, j’étais effrayée d’être une ‘vieille maman’, de ne pouvoir faire mille choses avec mes enfants. Et puis grâce à l’amour de mon conjoint, de mes enfants, mon cœur a parlé : je voulais bien me nourrir et bien les nourrir. Et avec WW, j’y suis arrivée !

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