Depuis quelques jours, Amandine Pellissard - qui avait déjà la tête ailleurs à la suite de la naissance de manière prématurée de sa fille Maéna - est préoccupée par un gros cafouillage émanant de l’Éducation nationale, à quelques jours de la rentrée des classes. Et pour cause, ce mardi 29 août 2023, c'est sur Instagram qu'elle avait confié que son fils Léo rencontrait un gros problème, malgré lui. Contrairement à ses petits camarades, l’adolescent était toujours dans le flou concernant son futur lycée, alors que la rentrée officielle est fixée au 4 septembre en France. "Comme on a changé de département en fin d'année scolaire, j'ai fait une demande d'affectation dans un établissement public de l'Hérault. Les formulaires étaient téléchargeables à partir du 29 juin, donc le 29 juin, j'ai téléchargé le formulaire, j'ai joint les documents demandés et j'ai tout envoyé" disait-elle, pour prouver qu’elle avait fait sa part du contrat comme il le fallait.
“Léo n’a pas de lycée”
Sans nouvelles de la part de l’administration, Amandine Pellissard avait alors tenté de les joindre par tous les moyens avant qu’on lui dise que le dossier de son fils sera étudié lors d’une commission qui devait avoir lieu le 29 août. Finalement, le vendredi 1er août 2023, les pires craintes d’Amandine Pellissard se sont confirmées : son fils Léo n’a été affecté à aucun lycée. : “Donc voilà, le truc lunaire… On ne pensait pas que ça pouvait arriver. On n’a pas d’établissement scolaire. La dame nous a dit ‘Je comprends, c’est compliqué, c’est désagréable’. Et quand on lui demande si Léo aura un établissement, elle ne sait pas !”, a-t-elle lâché, en compagnie de son mari avec lequel elle avait rendez-vous au restaurant avant de retourner voir leur fille à l’hôpital.
“Il y a beaucoup d’enfants dans cette situation”
La jeune maman qui a profité de ses stories pour également se féliciter de la prise de poids de sa fille prématurée a également confié avoir déjà songé à un plan B : scolariser son fils dans une école privée. “On va voir pour le mettre dans le privé parce qu’en fait ils nous baladent comme des pantins depuis le mois de juin. Et a priori elle nous a dit qu'on n'est pas les seuls, qu’il y a beaucoup d’enfants dans cette situation-là et que l’Hérault est un département assez bouché au niveau des affectations dans les établissements publics… Donc, c’est super !”, a-t-elle lâché, très en colère, avant d’ajouter : "On peut dire merci à l’Éducation nationale”. À chaque jour son lot de problèmes pour la famille Pellissard !