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Alexandre Dol (Familles nombreuses) : après sa condamnation pour violences conjugales, il se confie sur sa nouvelle vie

Publié le par Arthur Blanquet

Condamné à 8 mois de prison avec sursis pour violences conjugales, le père des deux derniers enfants d'Ambre Dol est sorti du silence, ce 29 juillet.

En novembre dernier, Ambre Dol, révélée dans l'émission Familles nombreuses : la vie en XXL sur TF1, annonçait qu'elle se séparait d'Alexandre, le père de ses deux plus jeunes enfants. Au mois de mai, ce dernier a été jugé pour violences conjugales à Tarascon, dans les Bouches-du-Rhône. Accusé notamment d'insultes fréquentes, il a alors été condamné à 8 mois de prison avec sursis. Ce samedi 29 juillet, après plusieurs mois de silence, Alexandre Dol a pris la parole, sur son compte Instagram.

"C'est moi qui l'ai quittée"

Le papa de 35 ans est d'abord revenu sur sa séparation avec Ambre, la mère de ses deux enfants. "C'est moi qui l'ai quittée, assure-t-il. La veille, une amie à elle pleurait car elle se séparait. Cette conversation m'a fait réfléchir, toute la nuit. En aucun cas c'est elle qui s'est sauvée d'une situation d'emprise, comme elle le dit si bien. Tellement sous emprise qu'elle partageait notre quotidien tous les jours."

"Je sais qui je suis et je sais qui elle est"

Alexandre Dol a ensuite indiqué qu'il avait fait appel de la décision de justice et qu'il vivait "un enfer depuis 9 mois". Le père de famille a fini par évoquer sa nouvelle vie de papa célibataire, tout en adressant un petit tacle à son ex-femme : "Aujourd'hui, je vis ma vie en toute tranquillité et discrétion, enfin j'essaie. Je remercie les personnes qui m'envoient des messages de soutien. Pour les autres, les messages haineux ne me touchent en aucun cas. Je sais qui je suis et je sais qui elle est. Et n'oubliez pas, Instagram n'est pas la vraie vie".

Quelques heures plus tôt, Ambre Dol, qui a repris ses activités de pompier volontaire, avait évoqué, elle aussi sur Instagram, le combat judiciaire qui l'opposait à Alexandre. Aidée par une association, la mère de famille faisait savoir, par l'intermédiaire d'une vidéo, qu'elle n'était pas encore capable de mettre "des mots sur les maux".

 

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