Lors de sa sortie en 2017, le film d’animation Baby Boss a connu un très grand succès au box-office et a même détrôné rapidement le film La Belle et la Bête. La suite, sortie en 2021, était tout aussi réussie et a plu aux enfants comme aux parents. Baby Boss 2 : une affaire de familleest d’ailleurs diffusé ce mardi 26 décembre sur TF1. Le synopsis ? Tim est désormais marié et père de deux petites filles : Tabitha et Tina. Il craint que sa petite dernière devienne une Baby Boss comme son propre frère Ted autrefois. Une aventure familiale débute. Les studios DeamWorks n’ont pas lésiné sur les touches d’humour pour cette suite toute aussi déjantée que la première. Alors, à partir de quel âge vos enfants pourront s'asseoir à vos côtés pour regarder ce film en famille ?
Baby Boss 2 : une affaire de familleest un film conseillé à partir de 6 ans. Les fans du premier épisode seront enchantés de retrouver les mêmes personnages qui ont énormément grandi mais aussi les petits nouveaux au caractère bien trempé. Il n’y a pas de scènes violentes ou susceptibles d’inquiéter vos bambins dans ce film. Mais notez toutefois que les plus petits d’entre eux peuvent être légèrement impressionnés par certaines scènes d'action. Par exemple, lorsque des bébés ninjas armés de sabres poursuivent un des personnages.
Baby Boss 2 : un film d’animation à regarder entre frères et soeurs
Les relations apaisées entre frères et sœurs sont l’une des valeurs défendues par le film. L’occasion pour les fratries les plus dissipées de s’inspirer de ce films qui les réunira à coup sûr et leur montrera un bel exemple de famille unie. En effet, les deux protagonistes de l’histoire, Tim et Ted, peuvent toujours compter l’un sur l’autre malgré leurs différences.
Pour que les relations entre les personnages soient aussi réalistes, le metteur en scène s’est inspiré de sa propre histoire avec son frère. Si le scénariste a préféré se consacrer à sa carrière à Hollywood, son frère a fondé sa famille très jeune. Une situation que le créateur de Baby Boss 2 a jalousé pendant un temps, avant de se rendre compte que son frère, lui aussi, l’enviait beaucoup.