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3 Français sur 4 manquent de vitamine D : comment combler les besoins en fin d’hiver ?

Publié le par Véronique Bertrand

Le ciel gris, la pluie, le froid qui ont régné tout l’hiver nous ont obligés à sortir emmitouflés de la tête aux pieds. Résultat, en fin d’hiver, notre taux de vitamine D peut être très bas. Que faire ?

La vitamine D ne protège pas seulement les femmes contre l’ostéoporose et les fractures, passée la ménopause. Elle a de nombreux bienfaits, selon le taux contenu dans notre sang.

Vitamine D : quel est le bon dosage ?

Idéalement, le taux de vitamine D est compris entre 30 ng/mL et 60 ng/mL, ou entre 75 nmol/L et 150 nmol/L.

A partir d’un taux de 12 ng/mL, la vitamine D protège du risque de cancer, notamment de ceux du côlon, de la prostate, des ovaires, du sein et de la peau. Quand on atteint un taux de de 30 ng/mL, la vitamine D limite les risques de fractures dues à l’ostéoporose. A partir d’un taux de 40 ng/mL, la vitamine D renforce les défenses immunitaires contre les infections respiratoires.

Un taux bas en fin d’hiver

Il n’est pas rare qu’en fin d’hiver, on n’ait plus de réserve de vitamine D, et que le taux soit compris entre 10 ng/mL et 20 ng/mL. Pour le voir remonter, il faut alors prendre une dose quotidienne allant de 1 000 à 5 000 UI de vitamine D, selon son poids et sa taille. A savoir, qu’une personne menue qui s’expose régulièrement au soleil aura besoin d’une dose plus faible qu’une personne forte et ne s’exposant jamais.

La concentration de vitamine D dans l’organisme ne remonte pas non plus du jour au lendemain. Il faut attendre plusieurs mois pour avoir un bénéfice.

Vitamine D : où la trouver dans l’alimentation ?

Pour combler ses besoins en vitamine D en fin d’hiver, il faut mettre aux menus quotidiens des cuillerées à soupe d’huile de foie de morue, du saumon, de la truite, du hareng, du thon, du foie de veau.