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Valentin Kretz (L'agence) se confie sur les tentatives de FIV et son désir d'adopter un enfant

Publié le par Melissa Carles

Valentin Kretz et sa femme Charina sont à l’affiche de la série L’Agence, diffusée sur TMC. L’agent immobilier s’est confié à Télé-Loisirs sur leurs soucis d’infertilité. 

 

Ceux qui suivent les aventures de la famille Kretz dans la série L’Agence le savent : l’un des fils de la famille d’agents immobiliers, Valentin Kretz, éprouve beaucoup de difficultés à concevoir un second enfant avec sa femme, Charina Sarte. Dans les colonnes de Télé-Loisirs, il s’est confié sur les échecs que le couple a connus pour agrandir sa famille. Déjà au sein de l’émission, il avouait que chaque FIV qui ne fonctionnait pas était très difficilement vécue par sa femme et lui. “À chaque fois, c'est un gros coup de massue pendant quelques jours. C'est dur”, confesse-t-il. 

A Télé-Loisirs, le jeune homme a confié que le projet d’un second bébé n’avait pas avancé. Mais le couple reste optimiste et mesure sa chance d’avoir déjà un petit garçon conçu naturellement et en bonne santé. “On est très très liés, forts par rapport à ça et puis on est deux personnes très optimistes et on se rend compte de la chance qu'on a, d'avoir un garçon qui est en pleine santé et joyeux donc on a tout pour être heureux”, reconnaît Valentin Kretz. En effet, les deux conjoints ont un fils prénommé Noah et âgé de 5 ans et demi. 

Parler d’infertilité devant les caméras : un choix assumé pour Valentin Kretz et sa femme Charina

Au sein de l’émission qui suit la famille dans leurs aventures d’agents immobilier, Valentin et Charina n’hésitent pas à évoquer ce sujet douloureux devant les caméras, allant même jusqu’à évoquer l’adoption. Une décision avec laquelle ils sont très à l’aise, puisqu’ils estiment que de nombreux couples sont confrontés à l’infertilité et qu’entendre d’autres personnes s’exprimer à ce sujet peut réconforter. Valentin Kretz l’avoue : “On a été beaucoup remercié par des couples qui sont dans ces situations, qui ont du mal et qui sont plus pudiques sur ces questions. Ça leur a fait du bien d'entendre ça.”