Faire le point sur cette maladie (encore !) mal repérée et améliorer sa prise en charge : ce sont les objectifs des nouvelles recommandations publiées ce mercredi par la Haute Autorité de Santé et le Collège national des gynécologues obstétriciens (CNGOF). En France, l’endométriose toucherait environ une femme sur 10 en âge de procréer. Elle se caractérise par la présence de cellules d'origine utérine en dehors de l'utérus, qui réagissent aux hormones lors des cycles menstruels. Si certaines endométrioses sont asymptomatiques, d’autres entraînent chez les femmes des douleurs très aiguës, voire une infertilité. La méconnaissance de la maladie entraîne un retard diagnostique pouvant aller de six à dix ans, selon d'anciens chiffres du ministère de la Santé. Certaines célébrités ont participé à mieux faire connaître l’endométriose, comme la chanteuse Imany, l'actrice Laëtitia Milot, ou la présentatrice Enora Malagré, qui a annoncé récemment qu’elle souhaitait se faire enlever l’utérus.
Endométriose : vers une amélioration du diagnostic ?
Publié le par Estelle Cintas
La Haute Autorité de Santé et le Collège national des gynécologues obstétriciens (CNGOF) publient ce jour de nouvelles recommandations pour améliorer le diagnostic et les traitements offerts aux patientes.
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