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Olivia Ruiz maman d'un petit Nino : « Il est hypersensible, comme moi »

Publié le par Mathilde Saez

En pleine promotion de son deuxième livre intitulé “Ecoute la pluie tomber”, Olivia Ruiz a fait des confidences rares sur son petit garçon, au magazine Version Femina.

Extrêmement discrète sur sa vie privée, Olivia Ruiz sort de l'ombre pour son nouveau livre, Ecoute la pluie tomber, à paraître ce mercredi 11 mai aux éditions JC Lattès. En pleine promotion de ce second roman, largement inspiré de sa vie, l'ancienne participante à la Star Academy s'est laissée aller à quelques confidences sur sa vie de maman, à l'occasion d'une interview parue dans les colonnes de Version Femina. Elle y évoque son fils unique, âgé de 6 ans et demi, prénommé Nino, né de ses amours avec le programmateur musical Nicolas Preschey.

Maman attentive qui a à cœur de lui transmettre ses valeurs, elle fait en sorte de le protéger du monde parfois difficile qui l'entoure, sans pour autant lui cacher la vérité. "Un équilibre difficile à trouver", reconnaît-elle, "c'est un boulot quotidien pour qu’il ne répète pas ce qu’il entend dans la cour de récréation". Un exercice d'autant plus difficile que son petit garçon tient de sa mère : "j'essaie de lui expliquer mais, comme moi, il est hypersensible".

Elle veut sensibiliser son fils à l'égalité des sexes

"Je veux qu’il comprenne que certains enfants n’ont pas sa chance, sans lui briser le cœur en lui racontant des réalités qu’il est trop jeune pour entendre." Consciente qu'il y a un gros travail à faire sur l'éducation des enfants, et notamment des garçons, elle songe à élargir son champ d'action si cela peut-être utile à d'autres. "Je réfléchis même à un spectacle destiné aux tout-petits, afin d’apprendre dès la maternelle l’égalité des sexes, les stéréotypes... Non, les filles ne jouent pas plus mal au foot que les garçons", poursuit-elle.

Une crise d'ado carabinée

Si comme toute les mamans du monde, Olivia Ruiz fait de son mieux pour éduquer son enfant, elle sait que la tâche ne sera pas aisée, surtout si, comme elle, il en fait voir de toutes les couleurs à ses parents à l'adolescence. "J'étais devenue hyper conne. Je trouvais que ma famille n'était pas assez curieuse, pas assez cultivée, qu'ils étaient toujours dans le boulot. Je leur ai beaucoup reproché d'être trop gentils", disait-elle déjà en 2010. Alors si elle espère que Nino ne prendra pas le même chemin, elle attend cette période avec réalisme : "De mes 14 à mes 19 ans, j'ai fait vivre à mes parents des années terribles, que je ne souhaite vraiment à personne. On verra ce que me réserve mon fils..."

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