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Les médecins diagnostiquent des terreurs nocturnes, la petite fille de 8 ans souffrait d’un cancer

Publié le par Véronique Bertrand

Comment peut-on confondre des terreurs nocturnes avec une tumeur germinale maligne ? C'est pourtant ce qui est arrivé à Madeleine Cooper, une petite fille de 8 ans qui a, heureusement été sauvée, parce que ses parents ont suivi les conseils d'une amie. 

Criant en pleine nuit à plusieurs reprises, les parents de Madeleine Cooper l'ont emmené chez le médecin, comme ils l'ont expliqué à nos confrères de Mirror : « Nous avons emmené notre fille chez le médecin généraliste à trois reprises et avons vu un médecin différent à chaque fois. » Tous ont rassuré les parents en disant que ce n'était pas grave, qu'il s'agissait de terreurs nocturnes

Terreurs nocturnes : quels symptômes ?

Les terreurs nocturnes se caractérisent par un enfant qui, en pleine nuit, s'agite, pleure, crie. Il peut aussi se mettre à transpirer, avoir une accélération du rythme cardiaque, avoir une respiration rapide et superficielle. En créant une routine régulière de coucher, en réconfortant l'enfant, en restant près de lui, les terreurs nocturnes passent. La méditation, la relaxation sont également efficaces.

Des douleurs intolérables

Mais si Madeleine criait la nuit, c'était parce qu'elle ressentait d'intenses douleurs au niveau des fesses. Une amie infirmière de ses parents leur a conseillé d'emmener leur fille à l'hôpital afin d'affiner le diagnostic. 

Ses parents l'ont emmené aux urgences de l'hôpital universitaire Royal Stoke, à Hartshill dans le Staffordshire, en Angleterre. Ses parents expliquent :  « Lors de l'examen échographique, on nous a dit qu'il y avait une masse de la taille d'un pamplemousse et les médecins ont fortement cru qu'il s'agissait d'une tumeur. Nous étions complètement dévastés. A ce stade, il n'avait pas encore été confirmé qu'il s'agissait d'un cancer. Nous n'avons reçu cette nouvelle que quelques jours plus tard. C'était le pire week-end de notre vie. »

Un traitement par chimiothérapie

La petite fille souffrait d'une tumeur germinale maligne. Il s'agit d'une tumeur issue de la transformation de cellules primitives destinées à donner des ovules chez la femme et des spermatozoïdes chez l'homme. La petite Madeleine a dû suivre un traitement de chimiothérapie. Elle a eu 6 cycles de 3 jours de chimiothérapie, à raison de 10 heures par jour. Un traitement très éprouvant pour la petite fille qui a perdu ses cheveux. Puis Madeleine a pu être opéré à l'hôpital pour enfants de Birmingham. Et heureusement, car le cancer s'était propagé à ses poumons. Mais aujourd'hui, elle va bien. 

Des parents engagés

Ses parents ont été très reconnaissants vis-à-vis des médecins qui ont soigné leur fille. Aujourd'hui, ils expliquent : « Nous prenons beaucoup de plaisir à aider d'autres enfants et familles qui traversent une situation similaire. »  Lorsqu'un enfant est gravement malade, c'est toute la famille qui est malade également. Se savoir entourée et soutenue est une grande aide pour traverser cette dure épreuve. 

Oui
il y a 3 mois
Les écrans sont une addiction comme les autres. En abuser c'est consentir à droguer son enfant en le rendant dépendant de la communication virtuelle, ...
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il y a 1 mois
Oui et non. 1. ​Oui ​pour la télévision , 2. ​non pour l'internet. 1. ​Nous avons renoncé à la télévision depuis 2010 ! ​2. ​Pour ​int...
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