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« Harry Potter : retour à Poudlard » : ces 5 anecdotes méconnues racontées dans le documentaire événement

Publié le par Guillaume Botton

C’est l’événement télé de ce début d’année ! La plateforme française Salto propose depuis le 1er janvier « Harry Potter : retour à Poudlard », un documentaire qui nous replonge avec force dans la saga, qui fête ses 20 ans.

Les fans de Harry Potter sont ivres de bonheur. Durant 1 heure 30, dans un documentaire tourné dans les studios du fameux château de Poudlard, les acteurs principaux mais aussi les différents réalisateurs se sont livrés au jeu des souvenirs et des anecdotes. Zoom sur cinq moments forts de « Harry Potter : retour à Poudlard ».

Ce jour où le réalisateur a eu « une illumination »

A l’annonce du tournage du tout premier Harry Potter, une certaine hystérie s’est emparée du Royaume-Uni. Pour incarner les jeunes héros, ce sont ainsi des milliers d’enfants qui se sont rué aux essais. Et si Emma Watson (Hermione) et Rupert Grint (Ron) ont rapidement fait l’unanimité auprès des casteurs, le recrutement de Harry Potter a été un vrai casse-tête. « Mais un soir, dans ma chambre d’hôtel, à Londres, alors que je regardais David Copperfield, de la BBC, j’ai eu une illumination », révèle dans le documentaire Chris Columbus, le réalisateur. Dans ce biopic du célèbre magicien, un jeune homme tient le premier rôle : Daniel Radcliff : « Voici Harry Potter, le gamin qu’on cherche depuis des mois », se souvient-il.

Amours secrètes…

Comme souvent dans des sagas au long cours, certains comédiens se sont entichés de leurs camarades de jeu. C’est le cas d’Emma Watson, tombée raide dingue du méchant Drago Malfoy, joué par Tom Felton. La jeune femme raconte : « Je suis entrée dans la pièce où nous faisions nos devoirs. La consigne qui avait été donnée était de dessiner ce à quoi l'on pensait que Dieu ressemblait, et Tom avait dessiné une fille avec une casquette à l’envers sur un skateboard. Et je ne sais pas comment l'expliquer  – je suis simplement tombée amoureuse de lui. »

Autre révélation, qui témoigne de la candeur qui régnait sur le tournage : Daniel Radcliff a eu le béguin pour Helena Bonham Carter, alias Bellatrix. Avec la permission de l’acteur, elle a ainsi lu la lettre d’amour qu’il lui avait adressée à l’époque : « Chère HBC, cela a été un plaisir d’être votre co-star et assistant, dans le sens où j’ai toujours fini par tenir votre café. Je vous aime et j’aurais aimé être né 10 ans plus tôt. J’aurais pu avoir une chance. Beaucoup d’amour et merci d’être si cool. »

Fan

Une pléiade de stars a défilé dans Harry Potter. Parmi elles notamment, les regrettés Alan Rickman (Rogue) et Helen McCrory (Narcissa Malfoy), tous les deux décédés, respectivement en 2016 et 2021. Si le documentaire leur rend bien sûr hommage, c’est un autre comédien, Gary Oldman, qui a eu le droit à une petite dédicace de Daniel Radcliff. Le jeune homme était un fan absolu : « Le premier devant qui j’étais béat d’admiration, c’est Gary », se souvient Daniel Radcliffe, au sujet de l'interprète de Sirius Black. 

Un seul héros connaissait la fin

Ce n’est qu’en 2007 que l’ultime tome de la saga est sorti en librairie, soit six ans après le tournage du premier volet. Impatient de connaître la fin, avant même l’impression du dernier opus, Alan Rickman a ainsi convaincu l’auteure, J.K. Rowling, de lui dévoiler l’issue de l’histoire. Ce qu’elle a fait. ET l’acteur a tenu sa langue. « Alan (Rickman) la connaissait mais il n'a rien dit », raconte ainsi Daniel Radcliffe. « Il a très tôt dit à J.K. Rowling :“ je pense que j’ai besoin de savoir ce qui se passe” ». 

Un tournage très physique

Lors d’une scène de « Harry Potter et la Coupe de feu », une prise de bagarre était prévue entre les jumeaux Weasley. Mais le réalisateur de ce volet, Mike Newel, trouvait que les garçons n’y mettaient pas assez de cœur. Ni une, ni deux, il propose à l’un des deux frères de se bagarrer « pour de vrai » avec lui.« Comme un crétin, j'ai dit d'accord », se souvient Oliver Phelps, l'un des deux frères. En effet, le réalisateur a semble-t-il été un poil présomptueux. « J’étais rondelet et j’avais la soixantaine à cette époque. J’aurais dû m’abstenir. Je me suis fêlé plusieurs côtes. J’ai souffert le martyre. Mais le point positif, c’est que je me suis complètement ridiculisé et ça a fait plaisir à tout le monde. »