En France, entre 3 et 5 % des enfants d’une classe d’âge sont dyslexiques. Ils ont du mal à lire, à écrire. Pourquoi ces difficultés ? Si les non-dyslexiques n’ont qu’un œil dominant qui envoie les informations au cerveau, les dyslexiques ont les deux qui envoient deux informations différentes au cerveau. D’où la création d’images-miroirs perturbant la lecture. La lampe Lexilight les corrige, en permettant de voir les lettres mieux dessinées, et donc de les les identifier plus rapidement pour lire plus facilement. Son principe de fonctionnement est simple : un bouton détache les lettres, et l’autre ajuste la netteté.
Un prêt durant le confinement
La société Lexilife prête la lampe Lexilight aux familles dont l’enfant en a besoin pendant la période de confinement, afin de les aider à lire normalement, que ce soit durant les temps d’école à la maison ou de loisirs pendant les vacances de Printemps. Il faut juste laisser une caution qui sera intégralement remboursée lors de la restitution de la lampe. Pourquoi ne pas la tester ? C’est l’occasion ! D’autant plus qu’un accompagnement téléphonique personnalisé est proposé pour aider au réglage. Pour obtenir une lampe en prêt avec une caution rendue à la fin du confinement, il suffit de se rendre sur le site de Lexilife.