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A 7 ans, on l’appelle le mini-Picasso

Publié le par Véronique Bertrand

Il est “peintre en herbe” depuis l’âge de 4 ans. Il réalise ses toiles avec des gants de boxe, et elles se vendent sur le marché de l’art jusqu’à 11 000 euros. Portrait.

Mikail Akar a aujourd’hui 7 ans. Il vit en Allemagne avec ses parents. C’est à l’âge de quatre ans que son père lui offre une toile et des pinceaux, pour changer des petites voitures dont il s’est lassé. Après avoir peint sa première toile, son père est si impressionné qu’il pense plutôt que c’est sa femme qui tenait les pinceaux, bien que cette dernière ne soit pas peintre. Et son fils enchaîne les toiles, une deuxième, une troisième, toujours aussi étonnantes.

Des tableaux vendus dans le monde entier

Le monde de l’art allemand, mais aussi français et américain, s’intéressent à ce jeune prodige, qui dit avoir comme modèles Jackson Pollock et Jean-Michel Basquiat.
A 7 ans, il a déjà son style propre : il utilise des gants de boxe pour appliquer la peinture sur la toile. Mais peindre est pour lui quelque chose de fatigant. C’est pourquoi, son père, qui est devenu son agent, veille à ce qu’il ne peigne que lorsqu’il le veut : cela peut être une fois par semaine ou une fois par mois.

Des produits dérivés

Toutefois, après avoir abandonné son travail de chargé de recrutement, Kerem Akar, le père de l’enfant, a fondé une agence avec son fils comme marque, Mikail Akar. Bilan : déjà plus de 40 000 abonnés sur Instagram et des casquettes brodées à ses initiales, vendues lors d’événements. Au printemps, il exposera d’ailleurs à Paris.
Cependant, à l’avenir, le jeune garçon rêve d’être footballeur professionnel.

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