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A 5 ans, il rédige sa biographie avant de mourir d’un cancer

Publié le par Véronique Bertrand

Il avait 5 ans, il souffrait d’un rhabdomyosarcome, une tumeur fréquente chez l’enfant. Et avant de mourir, il a dit ce qu’il pensait de son cancer dans une lettre qui émeut le monde entier.

Garret Michael Matthias a découvert soncancerseulement 9 mois avant d’en mourir. Il n’a pas laissé les autres parler à sa place de sa maladie, de ses envies. Il était conscient de ce qui se passait. D’ailleurs, il disait de son cancer qu’il était “moche et stupide”. Il savait que la mort était quelque chose de triste. Mais avec ses mots à lui, il a exprimé ses souhaits, ses regrets. De belles phrases qui montrent la force qu’avait ce petit bonhomme et qui ont été reprises dans de nombreux médias anglo-saxons : le journal local américain Desmoines Register, CNN, le Washington Post ; ou en France dans Le Monde, le Parisien. Ses mots ont fait le tour du monde.

Tout ce que voulait Garret

Pour rendre l’enterrement moins triste, Garret souhait “5 châteaux gonflables”, chacun d’entre eux marquant sa date anniversaire, “Batman et des glaces”. Plein d’imagination, il voulait “être transformé en arbre pour pouvoir vivre dessus lorsqu’il serait devenu un gorille.” Il rappelait aussi ses couleurs préférées, au nombre de 4 : “le bleu, le rouge, le noir et le vert”. Il parlait de ses héros préférés également :“Batman, Thor, Iron Man, Hulk, le Cyborg”, et de tout ce qu’il avait aimé : “jouer avec ma sœur, mon lapin bleu, mes Lego, mes copains de garderie…”

Des parents qui n’en reviennent pas

Ses parents ont été très impressionné par les mots écrits par Garret. C’est peut-être aussi grâce aux mots du petit garçon qui conclut par “Salut les gros nuls !”, qu’ils ont la force de se battre, de demander de faire des dons aux associations qui luttent contre le cancer de l’enfant (https://www.gofundme.com/garrett-mathiasmathias-family, https://www.littlealfoundation.com, https://www.facebook.com/PinkTractorFoundation) afin, qu’un jour, plus jamais une famille n’ait à faire face à l’épreuve de perdre un enfant, un frère, une sœur.

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