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Faute de médecins, les urgences pédiatriques d’Alençon seront fermées la nuit du 29 février au 1 er mars

Publié le par Véronique Bertrand

Jeudi 29 février, les parents habitant Alençon, une commune située dans le département de l'Orne, vont devoir espérer que leur enfant ne soit surtout pas malade, car si c'était le cas, il ne pourrait être admis aux urgences pédiatriques. On vous explique pourquoi. 

Cette semaine, l'hôpital d'Alençon a fermé son service d'urgences pédiatriques la nuit du 26 au 27 février. Il recommencera ce soir, jeudi 29 février, à partir de 17 h 30 et jusqu'à demain matin 8 h 30. La raison ?  Il manque temporairement un médecin au planning a expliqué la communication du centre hospitalier. Une affiche sur le réseau social Facebook précise "ne vous déplacez pas : appelez le 15, une urgence médicale ! Un doute ? un réflexe : le 15, un médecin vous répond.

Pas de panique !

Que les parents inquiets face à cette défection se rassurent, en appelant le 15 si la santé de leur enfant l'impose, ils auront en ligne un médecin régulateur qui leur apportera directement des conseils et une réponse adaptée face à l'état de leur enfant, ou qui les orientera vers une autre solution de prise en charge. Cela pourra être les urgences adultes de l'hôpital d'Alençon ou les urgences pédiatrique d'un autre hôpital des environs. 

La bonne nouvelle c'est que la maternité et le service de pédiatrie, eux, restent ouverts. 

D'autres services d'urgences fermés

Les urgences pédiatriques d'Alençon ne sont pas les seules à connaître des difficultés. En fin d'année 2023, les urgences pédiatriques de l'hôpital de Villeneuve-Saint-Georges avaient fermées la nuit du 31 décembre faute de médecins. 

A l'été 2023, c'étaient les urgences pédiatriques du Centre Hospitalier de Saintes qui été fermées pendant plusieurs semaines. En avril dernier, c'était les urgences pédiatriques de l'hôpital de Douai qui été fermées de 17 h à 8 h 30 jusqu'au 27 avril. Devant ces fermetures, les parents sont toujours inquiets et se sentent seuls face à la maladie de leur enfant. Ils expliquent qu'ils ne choisissent évidemment pas le jour et l'heure auxquels leur enfant tombe malade

Oui
il y a 3 mois
Les écrans sont une addiction comme les autres. En abuser c'est consentir à droguer son enfant en le rendant dépendant de la communication virtuelle, ...
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Non
il y a 1 mois
Oui et non. 1. ​Oui ​pour la télévision , 2. ​non pour l'internet. 1. ​Nous avons renoncé à la télévision depuis 2010 ! ​2. ​Pour ​int...
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