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Deux sœurs françaises accouchent en même temps à 800 km de distance

Publié le par Jérémy Puech

L’une était dans le Nord, l’autre en Dordogne. Noémie et Aurélie, deux sœurs, dont les accouchements devaient pourtant se faire à deux semaines d'intervalle, ont finalement mis au monde leur bébé le même jour, le 26 décembre.

La première, Noémie, habite à Cubjac, en Dordogne, tandis que la seconde, sa sœur Aurélie, réside à Mons-en-Baroeul, dans le Nord, soit à 800 km l’une de l’autre. Pourtant, les deux frangines ont accouché, le même jour, ce mardi 26 décembre. Pascal, le papa est donc tout jeune grand-père, a raconté à France Bleu, les coulisses de ces venues au monde pas comme les autres. « Noémie, qui devait accoucher pour le 25, est entrée à la maternité de Périgueux le 23. Mais le petit ne voulait pas venir », se souvient-il. Sa fille passe donc le réveillon à la maternité, puis la nuit suivante. Il poursuit son récit : « Le 26 au matin, j'arrive sur mon chantier tranquille en me disant : 'je vais être papy bientôt !'. »

« Quand j'ai reçu les photos de la petite, j'ai rompu la poche des eaux »

Son téléphone se met alors à sonner. Au bout du fil, son autre fille, Aurélie, également trentenaire. « Elle me dit : 'papy, tu es content ?'. Je lui dis non, ce n'est pas encore fait ! », retrace Pascal. Seulement, le paternel confond ses progénitures : « Mais non papa, c'est moi ! », lui rétorque Aurélie, qui a mis au monde une petite Emma, à 3 heures et demie du matin, alors que la naissance était prévue autour du 7 janvier. Noémie, à l’autre bout de la France donc, reçoit les premières photos de sa nièce, alors qu’elle se trouve elle-même à la maternité. « Et là, quand j'ai reçu les photos de la petite, j'ai rompu la poche des eaux et le travail a commencé », explique Noémie qui, accouchera finalement d'un petit Léandre vers midi.

« Ils voulaient arriver à la même date »

Le grand-père en est persuadé, cette synchronisation quasi-parfaite n’est pas due au simple hasard : « Moi je pense qu'ils s'attendaient tous les deux » assure-t-il. « C'est pour ça qu'elle est allée hyper vite, et que lui a pris son temps, ils voulaient arriver à la même date », surenchérit Noémie. Le dernier mot revient au papy, ivre de bonheur : « Ce matin, j'étais à la boulangerie, j'ai expliqué l'histoire à ma boulangère et elle aussi a dit : 'J'ai les larmes aux yeux!' »




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il y a 1 mois
Non. Et c'est un manque de respect pour celui qui vous a offert le cadeau. Et pour vous même, par la même occasion. Si les gens, en règle générale,...
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