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7 points communs entre l’accouchement et courir un marathon

Publié le par Mathilde Saez

Maman et marathonienne, Jill Norander a trouvé pas mal de similitudes entre ces deux épreuves de force.

Sur le site du “Huffington Post” américain, Jill Norander, maman bloggeuse et sportive, s’est amusée à recenser les points communs entre son accouchement et la célèbre course de 42 kilomètres. Deux exploits qu’elle a relevés haut la main, mais non sans quelques difficultés. Que vous ayez couru un marathon ou non, vous devriez quand même facilement vous reconnaître si vous êtes un jour passée par une salle d’accouchement.

1. Marathon comme accouchement nécessitent des mois de préparation.

Et dans un cas comme dans l’autre, le schéma est le même. Au début, on est exaltée, tout nous semble facile et irréel. Vient ensuite le stade où l’on commence un peu à s’essouffler, puis celui où le moindre effort nous paraît insurmontable.

2. Dans les deux cas, l’objectif est de ne pas se faire dessus.

C’est souvent la pire hantise des femmes enceintes et, on le sait moins, des coureuses de marathon.

3. A l’approche du jour J, les gens vous racontent des histoires horribles.

Comme celle de la nana qui a passé 18 heures en salle de travail pour finalement subir une césarienne. Vous voyez l’idée ? Pour un marathon, c’est à peu près pareil. Il y en a toujours un pour vous raconter l’histoire d’un copain qui a dû abandonner au kilomètre 30 après un gros coup de pompe.

4. Consulter Google à la moindre douleur.

Plus on approche de l’issue finale, et plus on s’alarme du moindre bobo. Et comme les forums de santé ne sont généralement pas faits pour nous calmer, on s’imagine très vite être au bord de la septicémie après s’être entaillé le doigt en coupant une carotte.

 5. Passé un certain point, vous perdez le contrôle de votre corps

Ce moment où vous envoyez votre mari bouler alors qu’il voulait juste essuyer cette petite goutte de sueur qui ruisselait sur votre front… Pareil pour le marathon. A partir d’un certain stade, les oreilles sifflent, la vue se trouble, et nos jambes courent toutes seules.

6. C’est beaucoup plus ardu et douloureux que ce qu’on imagine.

Disons que quand vous dites souffrir le martyre alors que vous êtes dilatée de trois centimètres seulement, vous n’avez pas encore idée de ce qui vous attend.

7. Aussitôt l’épreuve surmontée, vous jurez que l’on ne vous y reprendra plus.

Et puis le lendemain, vous dites que ça n’était pas si terrible, en fait…

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