Bientôt ou déjà parents, on vous accompagne !

« Un psychopathe » : Adriana Karembeu révèle avoir été victime de violences de la part de son père

Publié le par Guillaume Botton

Dans un entretien à lire dans Télé Star, Adriana Karembeu a révélé avoir été victime de la violence de son père, « un psychopathe ».

Des confidences poignantes sous forme de thérapie. Dans une interview accordée en exclusivité à Télé Star ce 26 avril, Adriana Karembeu, pour la sortie prochaine de son deuxième livre. Intitulé Libre et qui sortira le 2 mai, la mannequin raconte les violences de son père, dont elle a été la victime. Adriana Karembeu explique, dans un premier temps, que l’écriture de cette autobiographie a été douloureuse, l’obligeant à « remuer ces souvenirs ». Pis, elle confie avoir ressenti « à nouveau les coups dans (s) a chair ». Des « blessures d’enfance » qui ont refait surface en 2018, lorsqu’elle a mis au monde sa fille unique, Nina. Elle dévoile ainsi avoir « pris conscience de l’absurdité de ces gestes envers moi. […] Comment peut-on faire ça à son enfant ? »

Adriana Karembeu : « J’étais le bouc émissaire de mon père »

Elle se replonge ensuite dans sa mémoire : "J’étais le bouc émissaire de mon père, une espèce de sac dans lequel on tape quand on est de mauvaise humeur ou quand on a juste envie de torturer gratuitement un être humain sans défense.".Son père n’hésite pas à lui taper la tête contre le mur ou à jeter l’intégralité de son placard au sol. "Je sais qu’il y a pire, il ne m’a pas abusée sexuellement. Il ne m’a pas séquestrée. Il me disait sans arrêt : 'Si tu savais il y a des choses pires que ce que tu vis." Certes, mais ce que j’ai vécu laisse des traces" a raconté la mère de famille. S’il ne s’en prenait pas à sœur aînée, Natalia, son père n’osait agir en présence de sa maman, à l’emploi du temps surchargé. "Elle pensait qu’il fallait être dur avec les enfants pour bien les éduquer. Elle travaillait beaucoup, elle préparait sa spécialisation en médecine, elle s’occupait de nous, elle cuisinait, faisait nos fringues. Mon sort passait un peu à la trappe" a détaillé l’acolyte de Michel Cymes.

Comment réagira son géniteur, avec qui elle a coupé les ponts, à la sortie du livre ? « Mon père ne va pas aimer, c’est sûr. Mais je m’en fiche complètement. Je ne vais pas prendre des gants avec lui, ni me sentir coupable comme une victime face à mon agresseur. Mon père n’est pas un pauvre malade, c’est un psychopathe » a conclu Adriana Karembeu.

Sujets associés